Rémi

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15 sujets de 1 à 15 (sur un total de 40)
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  • en réponse à : Pratique en temps de confinement #1584
    Rémi
    Maître des clés

    Bonjour à tous,
    J’ai beaucoup apprécié le cours de ce samedi matin. Et en ces temps de marquages au sol et de respect des distances, travailler dans un périmètre contraint est particulièrement opportun et approprié :-). De mon côté, pour des raisons d’exiguïté, j’avais déjà pris l’habitude de reculer ma jambe droite après le premier « cueillir – tordre – balayer – coup de poing – fermeture apparente ». Je ne l’avais pas trouvé tout seul, mais en regardant, il y a quelques années, une vidéo de Maître Wang, dans laquelle celui-ci effectue ce recul de la jambe droite.
    Le cours m’a intéressé aussi pour les précisions relatives au Yi et au Qi, ainsi que pour l’attention portée sur l’ensemble du corps, lors de l’enchaînement, et pas uniquement aux membres en mouvement. Le soir, sur Arte, je suis tombé un peu par hasard sur un documentaire au sujet de la proprioception, et j’ai trouvé que ça faisait particulièrement écho à ce cours, et même à la pratique en général.
    Amicalement à tous,
    Rémi

    en réponse à : Pratique en temps de confinement #1538
    Rémi
    Maître des clés

    Bonjour à tous,
    Cours du samedi matin 2 mai. Comme souvent, Oscar, l’assistant à roulettes, et désormais à chaussettes, est là. Il est de plus en plus chic, ce qui sied à son caractère évident de majordome : bienveillant, attentif, infiniment patient et toujours disposé à rendre service. À mon avis, un jour, nous le verrons arriver en carrosse. L’Académie des anagrammes, composée de gens cultivés et à l’esprit guilleret et pétillant, estime que Oscar et carrosse peuvent être rangés dans la catégorie des « anagrammes audio », appelées aussi « anagrammes un peu foireuses mais acceptables les jours de disette ». Si c’est l’Académie qui le dit, nous ne pouvons que nous incliner bien sûr. Celle-ci, l’Académie des anagrammes, ne doit évidemment pas être confondue avec l’Académie des bourricots aux kilos, qui, elle, est composée de gens incultes qui n’ont aucun sens de l’humour. Chacun conviendra, je n’en doute pas, de l’importance de ces quelques lignes qui précèdent, et qui nous auraient manqué si elles n’avaient pas été rédigées…
    Bref, remontons sur le cheval, ou, plus exactement, reprenons la posture du cavalier et notre sérieux (comme nous le dit une maxime qui reste à inventer, il ne faut jamais laisser passer l’occasion de faire un zeugma, car ça chatouille l’esprit, et c’est bien agréable). Mais où en étais-je déjà ?… Nulle part, je crois…
    Jeudi dernier, 30 avril, je m’étais décidé, un peu au dernier moment, à suivre le cours. Mais au bout de quelques instants, la fatigue m’a envahi (sans me demander mon avis, j’irais même jusqu’à dire, sans mon consentement, ce qui n’est pas bien), et j’ai commencé à tout mélanger : les diagonales, les cardinales, ma gauche, ma droite, tout ça en inversé sur l’écran… J’ai abandonné au bout d’une demi-heure, je me suis assis dans mon fauteuil, et j’ai dormi. C’est dommage, car ce que j’avais réussi à saisir du début du cours m’avait bien intéressé. J’essaierai de le revoir avant qu’il ne parte…
    Moins de fatigue ce matin, même si ce n’est pas encore la forme olympique, alors je suis le cours. Mais au bout de trois quarts d’heure, voilà que c’est l’ordinateur qui fatigue et qui commence à mal me parler. « Internet instable ». Puis, plus de son… Me reste l’image, mais, dos à l’ordinateur…
    Sur le cours en tant que tel, je n’ai pas dit grand-chose. C’était bien, et j’ai bien aimé les exercices de préparation. Tout à l’heure, je poserai une question à la professeure, dans la rubrique idoine, une question courte, dans un message sérieux cette fois-ci, parce que là, ça a vraiment été du grand n’importe quoi !
    Rémi

    en réponse à : Pratique en temps de confinement #1480
    Rémi
    Maître des clés

    Bonjour à tous. Je te fais suite, Fatima, pour dire que c’était un chouette moment. Les modalités sont un brin surréalistes, bien sûr, mais ce ne sont que des modalités, qui n’ont naturellement d’autres buts que celui de faire passer du contenu. Un jour, sans doute, les cours reprendront comme avant (avec des masques, peut-être), mais je ne serais pas tellement étonné que cette façon de faire cours puisse être de nouveau utilisée en certaines occasions… Nous verrons bien, nous n’en sommes pas encore là…
    Nous sommes confinés, mais depuis le lever du jour, la lumière, au dehors, est très belle, bien qu’elle soit changeante, et le ciel est très beau, avec ses nuages, çà et là, nombreux, sur fond de ce bleu. Ici, un escargot, là, une tête de chien, à côté, un autre chien qui se roule sur le dos, tout un bestiaire d’animaux réels ou imaginaires…
    Merci Sabine pour ce cours, merci aussi aux techniciens… de la technique ! 🙂
    Bonne journée à tous.
    Rémi (qui utilisait Zoom pour la première fois)

    en réponse à : Pratique en temps de confinement #1467
    Rémi
    Maître des clés

    Bonjour à tous. Hier, j’aurais pu pratiquer. J’aurais pu regarder une des vidéos mises en ligne. Ou bien pratiquer sans vidéo. J’aurais fait quelques exercices de mise en route. Ensuite, j’aurais pu faire le 1er duan, d’abord lentement, au rythme des bols tibétains, puis bien plus rapidement, porté par la vivacité d’un ruisseau (c’est rapide, 3’29). Mais je n’ai rien fait de tout ça… En revanche, j’ai écouté l’heure bleue, sur France inter, qui rediffusait l’émission consacrée à François Cheng, et c’était vraiment bien.
    Rémi

    en réponse à : Cours avec Zoom #1456
    Rémi
    Maître des clés

    Bonjour à tous. J’ai suivi hier en différé le cours de jeudi. Ce lien avec la pratique, même à dose réduite, est vraiment le bienvenu. Merci Sabine de t’être lancée dans cet exercice inédit, et merci à ceux qui en arrière-plan s’occupent de la technique.
    Rémi

    en réponse à : Pratique en temps de confinement #1406
    Rémi
    Maître des clés

    Bonsoir à tous. Je ne savais pas en me levant ce matin que je ferais une séance de Feldenkrais dans la journée 🙂 Merci beaucoup, Sabine, pour ces deux vidéos. J’ai trouvé ça vraiment très bien et très intéressant, et je crois qu’à la fin, ou vers la fin, je sentais mieux les quatre appuis qu’au début. De nouveau merci pour cette séance, à refaire, et à refaire encore…
    Rémi

    en réponse à : Pratique en temps de confinement #1364
    Rémi
    Maître des clés

    Merci Sabine pour ces précisions. En te lisant hier, je m’étais dit que 15 min, ça allait être sans doute un peu ambitieux. Je vais adapter selon mes possibilités et ma disponibilité intérieure, qui seront évidemment variables…

    en réponse à : Pratique en temps de confinement #1357
    Rémi
    Maître des clés

    Bonjour Sabine, bonjour à tous,
    Merci, Sabine, pour les vidéos du neigong. Je trouve ça vraiment très bien, et c’est réellement précieux pour pratiquer, et pratiquer encore, et encore… Mieux que lors des cours, j’ai entendu et compris combien le temps de l’assise était important, et que c’était la première des étapes, et qu’il ne fallait pas la négliger.
    J’imagine sans peine que l’idéal est de pratiquer souvent, mais j’ai une question relative au temps de la méditation, et notamment le temps durant lequel on regarde la passe mystérieuse. Si l’on pratique sans regarder la vidéo (ce qui doit être possible au bout de quelques visionnages), est-il intéressant ou utile de consacrer davantage de temps à ce moment ?
    Encore merci !
    Rémi

    en réponse à : Pratique en temps de confinement #1267
    Rémi
    Maître des clés

    Bonsoir.
    Lorsque j’ai animé le cours, en novembre dernier, il y avait, parmi les propositions que j’avais faites aux participants qui étaient venus, celle de réaliser le premier duan au rythme du son d’un bol tibétain (j’étais venu avec mon ordinateur et des enceintes). Le rythme est un peu lent, le bol retentit toutes les cinq secondes. J’utilise très souvent ce son pour ma propre pratique, presque tous les jours, en tout cas très souvent. Le fichier (que je mets dans les nuages en suivant les indications de Charlie dans le tutoriel ad hoc) fait 12 minutes. En suivant le rythme du son du bol, le 1er duan s’effectue en 9 minutes et 10 secondes, il n’est donc pas nécessaire de débuter au premier coup de bol (si je puis dire), on peut, au contraire, prendre quelques instants pour se familiariser avec ce rythme et y caler sa respiration si on le souhaite. C’est ainsi que je pratique pour ma part, en respirant au rythme du son (5 secondes d’inspiration, 5 secondes d’expiration).
    Si on se prête à l’exercice, il y aura juste à anticiper les cinq fois de l’enchaînement où l’on « pousse » un peu sur son expiration : à la fin de la première fermeture apparente, au simple fouet, aux deux coups d’épaule (après les coups de coude), et à la fin, quand on a rapporté le tigre à la montagne.
    Le fichier est suffisamment long pour permettre d’effectuer également les treize postures, lesquelles, si on suit ce rythme, se font en environ 11 minutes (je n’ai plus le temps exact en tête). Il ne serait en revanche pas adapté (d’après moi en tout cas) pour la réalisation des 2ème et 3ème duans, raison pour laquelle je n’ai pas fait un fichier d’une durée plus importante.
    Rémi

    en réponse à : Pratique en temps de confinement #1266
    Rémi
    Maître des clés

    Merci Sabine.
    Si tu m’indiques les noms chinois, ceux du premier duan pour commencer (car je ne les connais évidemment pas tous, loin s’en faut), je devrais pouvoir faire la même chose sans trop de difficultés.
    Rémi

    en réponse à : Pratique en temps de confinement #1208
    Rémi
    Maître des clés

    De mon côté, dans l’espace assez réduit où je pratique chez moi, j’ai pris l’habitude (et c’est devenu une vraie habitude, un automatisme), à la fin de ce même mouvement dont tu parles Fatima, après le coup de poing et la fermeture apparente, plutôt que de transférer mon appui sur la jambe droite en avançant un peu, je conserve un bref instant mon appui sur la jambe gauche, et je recule franchement la jambe droite, en la positionnant tout de suite dans la diagonale suivante, et immédiatement ensuite, je transfère l’appui dans la jambe droite et je cueille normalement dans la diagonale gauche.
    Il m’arrive aussi maintenant de faire la même chose après le premier « coup de coude coup d’épaule ». Mais parfois, je gagne trop de place, et lorsque j’arrive au dernier « jouer du pipa », ça coince un peu sur ma gauche…

    Rémi

    en réponse à : Février #1110
    Rémi
    Maître des clés

    Jeudi 20 février. Ce sont les vacances, il me revient d’animer le cours. J’ai quelques idées, autres que celles que j’avais proposées aux participants du cours que j’avais animé en novembre dernier. Je ne sais pas encore si les participants du jour, ou du soir, en seront contents…

    Nous sommes sept. Pour les exercices d’échauffement, je m’inspire très largement de ceux que nous avons faits les deux jeudis précédents. Je propose, en guise d’exercice à deux, celui qui consiste à laisser reposer ses mains dans celles d’un partenaire, car j’ai l’impression qu’il est intéressant pour trouver le relâchement.

    Je suis venu avec une consigne, en forme de proposition, pour les enchaînements : être ensemble. Je prends l’analogie du banc de poissons, dans lequel, les poissons, pour former cette sorte d’objet mouvant, cette sorte d’organisme « unique », et ainsi « être ensemble », doivent être attentifs aux mouvements du voisin. Le poisson ne suit pas sa route sans se soucier des autres, car sinon, il risque fort de finir rapidement dans l’estomac d’un prédateur. Ce risque n’existe pas dans le gymnase, mais je propose néanmoins que chacun d’entre nous suive celle ou celui qui, en fonction de notre orientation, ne voit pas ce qui se passe dans son dos (et qui ne peut donc suivre personne). Nous sommes quatre à connaître les treize postures, nous nous positionnons en losange, et, au fur et à mesure de l’exécution de l’enchaînement, j’indique quelle est la personne que nous suivons « comme son ombre » sans jamais la précéder. J’ai l’impression que ça s’est bien passé pour tout le monde…

    Pour la proposition suivante, j’avais dû faire une petite préparation en amont. J’ai fait un jeu de cartes des différents mouvements du 1er duan (33 cartes), et, sur une grande feuille de papier, j’ai dessiné des cases, bien plus que 33, mais c’était mieux ainsi. Nous avons rapproché la table, j’y ai mis la grande feuille, en guise de plateau de jeu, et je propose à chacune et chacun de prendre une carte et de la positionner quelque part sur la feuille. L’idée, c’est de reconstituer dans l’ordre les mouvements de l’enchaînement. Nous avons ainsi – ça nous a pris quelques minutes – reconstitué le premier duan. Mais ça n’a pas été si simple, loin s’en faut… Pour ma part, j’ai trouvé que c’était instructif pour chacun, mais ce n’est que mon point de vue… Après cela, nous effectuons, réellement, le premier duan, avec toujours la même consigne : être ensemble. Là encore, j’indique au fur et à mesure de l’enchaînement la personne que nous suivons comme son ombre.

    Dans ce contexte inhabituel des vacances, et de ce cours qu’il me revenait d’animer, j’ai proposé aux personnes qui voulaient rester, bien que ne connaissant pas le 2ème duan, qu’elles pouvaient en effet rester. Le deuxième duan peut bien attendre une semaine : nous refaisons les treize postures, avec toujours la même consigne d’être ensemble, puis le premier duan, pour lequel, cette fois-ci, je donne la respiration.

    en réponse à : Février #1034
    Rémi
    Maître des clés

    Jeudi 6 février.
    Nous commençons par porter notre appui sur l’avant des pieds. Puis sur l’arrière. Puis, alternativement, vers la droite, vers la gauche, en nous appuyant sur le bord des pieds. Ensuite, nous tournons sur nos appuis, dans un sens, dans l’autre sens : devant, sur le côté, derrière, sur l’autre côté. Après, nous tournons au niveau des genoux, puis, au niveau du bassin. Ensuite, nous tournons le tronc sans bouger le reste du corps, notamment le bassin. Dans un sens, dans l’autre.

    Après, nous nous secouons, ainsi que nous le faisons souvent.

    On lève un bras vers le ciel, on se penche sur le côté opposé. Même chose de l’autre côté, avec l’autre bras levé.

    Nous effectuons des rotations des épaules. Dans un sens, dans l’autre.

    Nous effectuons quelques flexions avant. Ensuite, nous nous déplaçons, ainsi que nous le faisons très souvent.

    On lève les bras devant nous, avec le moins de tension possible. Au bout de quelques minutes, nous allons chercher le tigre pour le ramener à la montagne.

    Après, nous effectuons les exercices de la boxe de la grue blanche que nous effectuons de temps en temps.

    Puis, nous faisons un exercice à deux. Le partenaire pousse des deux mains en haut de la poitrine et, dans un premier temps, nous recevons la poussée en nous enracinant dans la jambe arrière. A noter que celui qui pousse reste sur sa jambe arrière. Sabine nous rappelle que le poids du corps doit être un peu en avant du pied arrière sinon nous serons en déséquilibre. De même, nous ne devons pas être en « double lourdeur », c’est-à-dire avec le poids du corps réparti sur les deux pieds.

    Dans un deuxième temps, c’est le déplacement qui doit se faire en harmonie, le pied du partenaire avance et en même temps, le nôtre recule. Donc, tout est une question de percevoir l’autre. Et là, on peut voir de tout ! Je vous laisse imaginer car ce n’est pas aussi facile que ça en a l’air. Une petite astuce pour reculer si j’ai bien entendu, faire un léger arrondi avec la jambe qui recule. Ensuite, c’est la personne qui a les mains de son partenaire posées sur elle qui initie le mouvement, qui avance, ses propres mains pouvant être mises sous les coudes du partenaire.

    Après les treize postures tous ensemble, nous formons des groupes avec, pour les avancés, le début du 2ème duan jusqu’aux nuages. Sabine nous fait revoir le mouvement qui suit l’aiguille au fond de la mer, assez complexe (mais c’est encore pire de l’autre côté dans le 3ème duan !).

    La dernière partie du cours a été consacrée au Neigong.

    en réponse à : Janvier #1031
    Rémi
    Maître des clés

    Jeudi 23 janvier.
    Échauffement :
    – Mains sur les épaules, coudes en l’air : rotation verticale des deux épaules en arrière, en avant ; penché à droite puis à gauche en essayant de percevoir les côtes qui s’écartent ; rotation latérale (horizontale) des épaules sans la taille, en impliquant la taille sans le bassin puis également avec le bassin
    – Mouvement habituel : les bras en l’air les mains se regardant, prendre le poignet avec l’autre main et tirer en étendant pour ouvrir les côtes de l’autre coté.
    – Mouvement déjà vu : jambes écartées, descendre en fléchissant un genou, l’autre jambe tendue, le pied tourné vers l’extérieur poing en l’air ; exercice seul et à deux pour plus de faciliter à la descente. Aide pour plusieurs mouvements de descente en particulier dans le 3ème Duan.
    – Suivi par le travail au sol ; jambes devant légèrement écartées, genoux plus ou moins fléchis selon la souplesse de chacun, on prend la pointe des pieds avec les mains et on étire – Jambes écartées : on roule sur les ischions en arrière, en avant puis on se penche en avant en étirant le dos ; idem au dessus des jambes, à droite et à gauche – assis, genoux en l’air, on abaisse un des genoux vers l’intérieur.
    – Exercice de notre forme : au lieu de lever la jambe tout de suite, on abaisse la jambe en levant les bras devant soi puis on abaisse les bras comme si on prenait appui et on lance la jambe en avant.

    Les 13 postures tous ensemble puis travail à deux sur le LU : application de « jouer du pipa ».
    Face à face, le partenaire pousse au niveau de la poitrine avec sa main droite. Notre jambe droite se déplace en arrière, notre main droite se pose sur le poignet du partenaire et pivote pour le « conduire » vers la droite tandis que le bras gauche effectue un LU. Le partenaire est alors dévié vers notre droite.
    Avant la courte pause, nous faisons un exercice à deux visant à nous aider à ressentir le mouvement de nos omoplates.
    La dernière demi-heure est consacrée à une séance de Feldenkrais (il y en aura une autre la semaine prochaine). C’est inhabituel, nous travaillons à deux. Un des partenaires s’allonge sur le côté droit sur un tapis, positionnant son corps comme s’il était assis sur un tabouret. Là encore, les exercices, effectués avec lenteur, vont principalement consister à améliorer notre conscience de nos omoplates.

    en réponse à : Janvier #1028
    Rémi
    Maître des clés

    Jeudi 16 janvier. Nous sommes nombreux, ce jeudi, nous l’avons rarement été autant. Plusieurs « retardataires » arrivent au compte-goutte, et cela m’amuse un peu… Ayant de mon côté peu de souvenirs du cours, c’est Mai qui nous en parle.

    Échauffement : rotation du bassin comme mardi , exercices nouveaux (plus nouveaux maintenant), mouvements des épaules, buste penché en avant puis droit, rotation arrière des deux épaules ensemble puis en alternance en bas en haut ; exercices de la grue blanche ; exercice habituel en pensant à bien fléchir la jambe arrière en descendant, la jambe avant tendue avec les deux mains qui descendent de part et d’autre de la jambe ; bao hu gui shan.

    Le thème du jour choisi par Sabine : le LU que l’on retrouve dans les 13 postures et les trois duans (brosser le genou, jouer du pipa…).

    Exercice seul
    Pied droit en avant, LU avec le bras droit en tournant le bassin vers la gauche, ce qui fait tourner un peu le pied droit puis le bassin se replace vers l’avant, le bras droit descend alors que le bras gauche monte pour pousser vers l’avant et que l’on passe sur la jambe avant droite. Cela fait comme un mouvement circulaire : c’est la poussée circulaire. Pour l’instant, cela est relativement simple.

    Tout se complique quand nous réalisons l’exercice à deux. Deux problèmes :
    – le premier comment débuter, à savoir : quel pied avec quel bras ?
    Sabine nous donne les explications suivantes : Pied droit en avant, il doit toujours y avoir une ligne de circulation d’énergie : arc de cercle bras droit jambe gauche arrière (pour le LU) ; bras gauche, jambe droite avant (pour la poussée avant)

    – Ce qui nous donne, si nous avons tout bien compris, la position de nos bras en fonction de ceux de notre partenaire, ce qui est la deuxième question : comment mettre nos bras en fonction des bras du partenaire ?
    Pied droit en avant : si le partenaire a le bras droit en haut et le gauche en bras, il est prêt à faire un LU, donc contrer notre poussée avant, donc nos bras seront à l’intérieur des siens ; en revanche, si son bras gauche est en haut, c’est qu’il va faire une poussée avant donc nous allons le contrer avec un LU donc nos bras seront à l’extérieur des siens. Limpide non ?
    Après il s’agit de faire le mouvement circulaire comme quand nous le faisons seul.

    NB : Réponse à la question de mardi : la colonne débute au coccyx et se termine à la première cervicale (l’atlas) qui soutient le monde, à savoir notre tête ou l’inverse pour ne pas marcher la tête en bas.

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